L’édito de Jean-François Leckning | Dans moins d’un mois on saura s’il suffit de bâtir des ponts, d’augmenter les vieux et de jouer avec les sentiments par rapport aux Chagos pour gagner des élections… Mon petit doigt me dit pourtant que c’est du côté du Champ-de-Mars que se trouvent cette année les clés de la rue du gouvernement….
Politique
L’édito de Jean-François Leckning | A la veille du second tour des Législatives, la France est à la croisée d’un drôle de chemin. A l’extrême gauche, elle perd. A l’extrême droite, elle se perd. Tu parles d’un choix…
L’édito de Jean-François Leckning | Probablement épicée dans la cuisine du chef, l’idée de privilégier l’émotionnel et le visible en amont d’une joute électorale a une vraie portée populiste. De celles qui sont susceptibles de faire pencher la balance.
“J’ai le PTr dans le sang. L’identification à l’histoire, aux valeurs et aux combats du parti est très forte.”
Jenny Mootealloo : “Il n’est jamais trop tard pour repartir à zéro, ni jamais trop tard pour être heureuse…”
Avocate et politicienne, Lovena Sowkhee est de tous les combats. Candidate du Parti travailliste aux élections générales de 2020, récemment aperçue sur la plateforme des Avengers, elle dit militer pour une société plus juste et plus inclusive.
Il pourrait être une des grosses cotes des prochaines élections. A Rose-Hill, où il sera candidat sous la bannière de Lalians Lespwar, Patrick Belcourt a fédérer beaucoup d’électeurs autour de lui. Il faut dire que sa campagne, il ne l’a pas entamée le 22 octobre mais il y a trois ans. La mayonnaise semble vouloir prendre. Ce ne sera peut-être pas suffisant pour se hisser sur le podium, mais peut-être assez pour fausser la donne.
PAR JEAN-FRANCOIS LECKNING – Que compte faire Bérenger pour redorer le blason du MMM, qui fête ce mois-ci ses 50 ans ? S’engager à se présenter seul ne devrait plus suffire. En 2014, ça aurait pu, mais pas en 2019. Se targuer d’être le seul parti propre ? Ça sent le disque rayé. Allez Paul, de l’imagination !
“Le temps des leaders dictant aux autres leurs volontés et suivis par des adorateurs faisant preuve d’une abjecte soumission est bien révolu.” Dans l’entretien qu’il a accordé à People, Steven Obeegadoo justifie, avec beaucoup de recul, les raisons de son éloignement du MMM.
Dhanesh Maraye a fait refermer la porte du PMSD dans son dos, sans animosité. Les prochaines élections générales, dit-il, ce sera sans lui ! A 42 ans, il a compris que les flatteries lancées à tout va n’ont pas forcément prise sur la masse et que le rouleau compresseur de la politique active ne fait pas dans les bons sentiments.