PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | Les épreuves de la vie nous ramènent toujours à l’essentiel : l’amour. Opium de la vie. Source de tout. Lumière intérieure. L’amour d’une femme, d’un enfant, d’une mère. Amour qui guide notre chemin sans le savoir mais duquel nous nous égarons parfois.
Jean-François Leckning
“Une opportunité, il faut la saisir tout de suite. Le train ne passe jamais deux fois à la même gare. On le prend ou on ne le prend pas… ”
Au premier rang des entraîneurs qui ont marqué l’histoire des courses de chevaux à Maurice, Gilbert Rousset, décédé mardi, était indétrônable. Avec 958 victoires, 20 classiques et neuf championnat au compteur, il étrennait son palmarès sans jamais se départir de ses idéaux, de ses principes, de ses valeurs….
Entreprendre, c’est son dada. Avec une énergie qui étonne, Lalita Junggee défriche les marchés naissants et collectionne les prix dédiés à l’innovation. Après Sakili et Recycle Moi, la Startupper de l’année 2019 s’apprête à débouler en Afrique.
Au CCEOI, référence de la greffe de cheveux à l’international, on propose aussi de la dentisterie haut de gamme. Smriti Reetoo-Aldridge, qui dirige le département, a trouvé les bonnes stratégies pour se démarquer de la concurrence.
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | On ne devient pas policier par défaut. On le devient par choix. Celui de servir une nation sans jamais contrevenir à l’éthique, dans le plus grand respect des droits de l’homme et de sa dignité.
“Je pleure souvent dans mon coeur car je côtoie de trop près l’injustice et la misère.”
Directeur de l’agence Circus, Vincent Montocchio est connu pour l’amour inconditionnel qu’il porte à son île, qu’il a photographiée dans tous les sens.
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | “On dit que le football est l’opium du peuple. Je l’ai compris très tôt. Ce que je n’ai pas compris, c’est à quel moment il a cessé de l’être à Maurice.”
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | Le bonheur est une quête. Individuelle et citoyenne. Quand on a l’impression de ne plus y avoir droit dans son propre pays, c’est qu’il n’y fait plus bon vivre. Reste alors deux choix : l’exil ou la colère