PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | A l’école, je ne comprenais jamais rien aux mathématiques. On me dit que je souffrais peut-être de dyscalculie, un trouble d’apprentissage moins connu que la dyslexie, sa cousine. Moi je dis que c’était plutôt un trouble d’intérêt.
éducation
Rarement un professionnel du tourisme n’aura tiré la sonnette d’alarme avec autant de conviction et de sincérité dans le verbe. Renaud Azema, directeur de Vatel Maurice, s’inquiète du désintérêt nouveau des jeunes pour les métiers du tourisme.
Christelle Jean est à la tête de l’Univers des Sages, un établissement pédagogique de Sodnac qui s’inspire de la méthode finlandaise. Chez elle, les enfants apprennent en s’amusant, en observant, en multipliant les expériences. De quoi attirer les parents qui souhaitent éloigner leurs gamins d’un système traditionnel parfois oppressant et abusif.
Du temps où elle était speakerine à la MBC, Maggie-Rose irradiait l’écran. Sa prestance et son élocution la distinguaient des autres. Mais la vie publique, c’est fini ! Aujourd’hui, c’est comme enseignante de français à Clavis qu’elle poursuit sa route.
Fondateur du groupe Vatel, leader mondial de l’enseignement de l’hôtellerie-tourisme, Alain Sebban est à la tête d’une soixantaine d’écoles à travers le monde, dont une à Maurice. « La première chose qu’on apprend chez Vatel, dit-il, c’est le savoir-être. : c’est un sourire, une tenue, une approche, une attitude… Ça passe avant le savoir-faire. »
Chez Vatel Mauritius, à Palma, l’escalier qui mène aux salles de classes a presque une vocation pédagogique. Il a été posé au cœur du campus, très en évidence. En début d’année, il permet au CEO Renaud Azema d’expliquer à ses nouveaux élèves qu’une carrière dans l’hôtellerie se construit par paliers. Que les marches se négocient les unes après les autres. Que pour réussir, il faut de la patience, de la constance et de l’endurance. Chez Vatel, on ne forme pas que de futurs hôteliers. On forme surtout des hommes et des femmes, on leur apprend la vie. Pour Renaud Azema, c’est une mission.
Vous souhaitez que votre enfant étudie aux Etats-Unis mais vous ne savez pas comment vous y prendre ? Ne cherchez plus ! Depuis quatre ans, Anjanita Mahadoo, installée à Boston, propose ses services dans ce domaine. Conseillère en admission, elle a favorisé l’admission de plusieurs jeunes mauriciens au sein des meilleures universités américaines.