L’édito de Jean-François Leckning | Dans moins d’un mois on saura s’il suffit de bâtir des ponts, d’augmenter les vieux et de jouer avec les sentiments par rapport aux Chagos pour gagner des élections… Mon petit doigt me dit pourtant que c’est du côté du Champ-de-Mars que se trouvent cette année les clés de la rue du gouvernement….
Edito
L’édito de Jean-François Leckning | A la veille du second tour des Législatives, la France est à la croisée d’un drôle de chemin. A l’extrême gauche, elle perd. A l’extrême droite, elle se perd. Tu parles d’un choix…
L’édito de Jean-François Leckning | Probablement épicée dans la cuisine du chef, l’idée de privilégier l’émotionnel et le visible en amont d’une joute électorale a une vraie portée populiste. De celles qui sont susceptibles de faire pencher la balance.
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | J’avais envisagé, un instant, de vous parler de ce qui nous préoccupe le plus ces jours-ci. De cette police infamante, puante, à la solde de l’Etat. Du harcèlement systémique dont sont victimes les opposants du pouvoir. De ces nouvelles lois abjectes qui restreignent un peu plus nos libertés fondamentales. Je me suis ravisé. L’infiniment petit ne m’intéresse pas beaucoup depuis quelque temps.
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | A quel moment au juste la société a basculé ? A quel moment le culte de l’argent facile a pris le dessus sur tout le reste ? A quel moment a-t-on décidé qu’exhiber sa BMW, son sac Gucci, son gros chien, son voyage en classe affaires, coupe de champagne à la main, validait le bonheur et l’accomplissement ?
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | A l’école, je ne comprenais jamais rien aux mathématiques. On me dit que je souffrais peut-être de dyscalculie, un trouble d’apprentissage moins connu que la dyslexie, sa cousine. Moi je dis que c’était plutôt un trouble d’intérêt.
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | Les épreuves de la vie nous ramènent toujours à l’essentiel : l’amour. Opium de la vie. Source de tout. Lumière intérieure. L’amour d’une femme, d’un enfant, d’une mère. Amour qui guide notre chemin sans le savoir mais duquel nous nous égarons parfois.
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | On ne devient pas policier par défaut. On le devient par choix. Celui de servir une nation sans jamais contrevenir à l’éthique, dans le plus grand respect des droits de l’homme et de sa dignité.
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | “On dit que le football est l’opium du peuple. Je l’ai compris très tôt. Ce que je n’ai pas compris, c’est à quel moment il a cessé de l’être à Maurice.”
PAR JEAN-FRANÇOIS LECKNING | Le bonheur est une quête. Individuelle et citoyenne. Quand on a l’impression de ne plus y avoir droit dans son propre pays, c’est qu’il n’y fait plus bon vivre. Reste alors deux choix : l’exil ou la colère